Danse Modern Jazz

Animée par Fanny Guénal professeur diplômée d'état.


Cours à la salle Pilsko, sur inscription à contact@leszarpetes.asso.fr.  ou 02.41.48.41.47

Cours d’essai gratuit à la rentrée.

*Dispositif e.Pass Culture et sport -Pratique artistique ou sportive accepté pour cette activité.

Les Horaires 2024-2025 (provisoires)
Salle Pilsko (voir carte)

+ L’adhésion à l’association 30€ (+ d’infos ici)

Les groupes
Enfant : Eveil (4/5 ans), Initiation (6/7 ans), Jazz Débutant (8/9/10 ans), Jazz Intermédaire (11/12 ans)
Adolescent :Jazz Ado (13/16 ans)
et Jazz Adulte.

Éveil et Initiation : Ces cours sont des ateliers de découverte autour de la danse en général. Les élèves découvrent le corps (perception de soi, différenciation des parties du corps,…), la musique (écoute, rythme, dynamique, énergie,…), l’espace (localisation, direction, orientation, volume, niveau,…). C’est aussi une découverte de la pratique collective et de la socialisation.

La technique Modern’Jazz est abordée et perfectionnée dans les cours Jazz (Débutant, Intermédiaire, Ado et Adulte).

Qu’est-ce que le Modern’Jazz (ou danse Jazz).

Née de la synthèse des danses rituelles africaines avec les danses européennes, façonnée de nombreuses influences américaines, la danse jazz se laisse difficilement emprisonner dans une définition. C’est le métissage par excellence.

Ses origines

La musique Jazz apparaît au 17° siècle avec les premiers esclaves noir d’Amérique qui chanteront des « negro spiritual » ou « gospel », en guise de protestation à leur nouvel environnement.
A ces chants se mêlent des danses « nocturnes » rythmées et endiablées, sorte de « défouloir ».
En 1915, apparaît le premier orchestre noir, jouant du « Blues » dont la caractéristique repose sur un rythme obsédant, hypnotique. Les formes de danse pratiquées dans les premiers « bastrings » qui deviendront plus tard des « cabarets» vont constituer la base de la danse jazz telle qu’on la connaît. On peut citer le « cakewalk » (1900), le charleston (1921), « lindy hop » (1930), le « Tap Dance » (Fred Astaire, Ginger Rogers), le « boogie » et le « be-bop » dans les années 40 et l’influence sud américaine (samba, mambo, tchatcha) en 1945, pour donner lieu dans les années 70 au « jerk » et au « disco ».
Les années 1950 voient apparaître le vocable de « modern jazz », expression née dans les studios new-yorkais de Matt Mattox, K.Dunham et autres chorégraphes qui travaillent sur l’énergie, les rythmes syncopés, les arrêts, les silences, la dynamique et la surprise, tout en favorisant l’expression individuelle et le « feeling ».
La comédie musicale américaine sera un moyen de diffusion de la danse jazz : Gene Kelly (1940), Jérome Robbins (« West Side Story », 1957), « Hair » (1968), « A Chorus Line » (1975), « Fame », « Flashdance » (1984).
Passerelle entre le vocabulaire classique et contemporain, la danse jazz allie harmonieusement les rythmes, les styles et les techniques réputés inconciliables, et elle fait autant appel à la technique la plus exigeante qu’au sentiment le plus authentique. Elle se caractérise par une étroite relation musique/mouvement : mouvement syncopé (accélération et décélération du mouvement), accents du corps (explosion, relâchement, chute au sol, relevé), contre-temps (l’accent du mouvement est mis sur le compte « et » 1 « et » 2 – le « et » marquant le contre-temps).


Souvenirs des années passées

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